Immigration et restauration, la fausse solution !

Le métier de cuisinier, ce noble art, ne se résume pas à éplucher des patates ou à réchauffer des surgelés !
Il exige une maîtrise digne d’un Jedi culinaire : techniques pointues, connaissance encyclopédique des ingrédients, et une créativité qui ferait pâlir Picasso.
Des années d’apprentissage dans des écoles gastronomiques prestigieuses, où l’on apprend à jongler entre hygiène, gestion et commandement d’une brigade, sont nécessaires.
Passion, rigueur, qualité : voilà le triptyque sacré de la cuisine française.
 
Mais attention, un complot médiatique est en marche !
Entrez en scène Thierry Marx, grand gourou de l’UMIH, et ses trompettes médiatiques, qui tentent de nous faire croire que ce métier d’élite est à la portée du premier venu !
 
Avec 250 000 postes vacants, leur solution miracle ?
Remplir les cuisines avec une armée d’immigrés non qualifiés.
Drôle de recette, non ?
Mais derrière cette soupe populiste, les défis sont aussi épicés que du piment oublié d’Espelette !
 
Obstacle n°1 : la guerre des assiettes culturelles.
Le porc, roi de la gastronomie française, est un cauchemar pour ceux dont la religion le bannit.
Flamber au cognac ? Inconcevable pour d’autres ! Ces marmitons sans compétence se retrouvent coincés entre leurs convictions religieuses et les ordres d’un chef exaspéré.
Résultat : un ballet de dilemmes qui ferait plus rire qu’un duo de Jeremy Ferrari
 
Obstacle n°2 : le clash des genres. En France, hommes et femmes dansent ensemble derrière les fourneaux, sous l’œil d’un ou d’une cheffe implacable.
Mais pour certains immigrés de cultures où la mixité est taboue. 
Être dirigé par une femme ? Un choc culturel qui transforme totalement  la chorégraphie harmonieuse d’une brigade étoilée !
 
Obstacle n°3 : le savoir-vivre en péril. Courbettes, politesse et codes vestimentaires : la restauration française est un théâtre de bonnes manières. Mais pour des novices étrangers, ces règles sont aussi mystérieuses que la recette d’un soufflé parfait.
 
Obstacle n°4 : le savoir-être en crise. Dans le feu de l’action, il faut collaborer, encaisser les critiques et avec le sourire s’il vous plait! 
Mais avec des styles de communication plus directs ou hiérarchiques, certains immigrés jouent les généraux au lieu de faire équipe.
Résultat ? Une cuisine qui sent plus la tension que le beurre noisette !
 
Et le bouquet final : l’exploitation déguisée…
Il faut quand même en parler avant de me faire taxer de fasciste par toutes les âmes de gauche qui tomberaient sur cette chronique vinaigrée.
Lors des entretiens, les restaurateurs professionnels recherchent des compétences, pas des improvisateurs.
Mais dans les grandes villes, des patrons sans diplôme (un de mes autres combat ! ) embauchent à tour de bras des clandestins non formés.
 
Salaires de misère, travail au noir, et plats surgelés à la place de l’art culinaire : bienvenue dans le fast-food clandestin !
Ces exploiteurs maximisent leurs profits en piétinant le droit du travail, dévalorisant un métier qui génère 114 milliards d’euros par an selon GIRA.
 
La qualité ? Un souvenir flou, remplacé par des assiettes remplies à grands coup de produits réchauffés et préparés par l’agro alimentaire chimique. 
 
Et l’État dans tout ça?
Il regarde ailleurs, laissant ce secteur s’effondrer sous le poids de la rentabilité à court terme. Alors, rions jaune : pourquoi ne pas lancer « MasterChef Clandestin » avec des fourneaux rouillés en prime ?
 
En conclusion, cette mascarade d’intégration à bas coût trahit l’âme de la cuisine française. Salaires, conditions de travail, prévoyance : il est temps de revaloriser ce métier. 
Que les politiques et l’État agissent, protègent notre métier, et rappellent que la restauration, fleuron national,  mérite mieux que des assiettes jetables et des cuisiniers amateurs.
Sinon, adieu l’excellence française et bonjour la tambouille !
 
Arno-H 
©sosresto.fr

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